Prêter de l’argent à votre société est fiscalement avantageux. Vous ne payez en effet que 25 % de précompte mobilier et les intérêts sont en principe déductibles pour votre société.
Comment maximiser les intérêts que vous percevez par ce biais et, en même temps, éviter que le fisc ne les requalifie en dividendes dans le chef de votre société ?
Évitez-vous la requalification en autorisant un délai de paiement ou en comptabilisant le solde à votre compte courant ? Quels sont les règles du jeu et les points d’attention ?
Pouvez-vous demander plus d’intérêts en travaillant avec un crédit de caisse plutôt qu’un crédit d’investissement ? Un prêt subordonné est-il encore plus intéressant ?
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