Pour des conjoints (et des cohabitants) sans enfants, mais aussi pour les cinquantenaires et jeunes soixantenaires qui ont des enfants encore trop jeunes pour élaborer une planification successorale complète, on recourt de plus en plus souvent aux “donations réciproques”.
Dans certaines situations, il s’agit d’une forme très efficace et relativement peu coûteuse de planification successorale. Pour des époux ayant des enfants, c’est souvent une planification “provisoire”, réversible au moment où les enfants sont devenus plus âgés.
Une variante, qui fait son apparition, c’est la “tontine d’assurance”. Comment fonctionnent les deux techniques et laquelle choisir dans votre cas concret ?
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