À première vue, un testament paraît moins intéressant comme outil d’optimalisation fiscale, car il y a toujours des droits à payer en cas de succession. Mais, bien conçu, il peut avoir quand même son utilité dans le cadre d’une planification successorale. Comment donc ?
Le fisc peut-il faire ensuite des difficultés en se fondant sur la disposition anti-abus ?
Quelles sont les possibilités d’optimalisation par le biais d’un testament ? Quel rôle joue dans ce cadre le saut de génération, le legs optionnel et le double legs ?
Quelles sont les limites à prendre en compte et quelle est l’importance du contrat de mariage à ce niveau ?
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